Dimanche 7 octobre 2007 à 22:45

C'est l'été en automne.

 

Parfois, ça m'arrive de penser que si j'étais seule sur une île, je me sentirais mieux. Mais les îles y en a pas aux alentours. Mais la mer, je la vois et ne vois pas l'autre rive. Peur, non je suis aveuglée par l'inconscience. Le bonheur vient-ils de nous-mêmes ? Peut-on être heureux par soi-même ? Je pense surtout que sans les autres, on existe pas. Il faut un quelque pour que un ‘moi' existe, pour que un individu soit ‘différent'. Rien autour, que de l'eau à perte de vue.

Les portes dans la tête.

Samedi 6 octobre 2007 à 21:40

What's about me?

Parfois on a  plutot envie de dire au revoir que bonjour. Mais finalement rien ne sort. Sortir et s'amuser rime plutôt avec rester et mourir. Surtout que le monde s'écroule. Aujourd'hui ou maintenant : c'est bientôt. All, on a envie que ça finisse, faut pas se voiler la face. C'est juste qu'on en prend conscience ou qu'on se le cache, inconsciemment. In the world, on a pas forcement envie de rester à rien faire, mais bouger pour ne rien faire, penser à ne rien faire. Le temps passe moins vite. Black is the colour of the day.

Mardi 4 septembre 2007 à 23:34

Je rêve un peu trop et alors?

  J'en ai envi et puis le droit. Le droit de beaucoup mais pas forcement l'envie. On a beaucoup mais on n'en prend pas conscience. On l'a devant nous, jours après jours, mais on ne le voit pas, comme s'il était invisible, ou un peu trop voyant. Trop gros ou trop petit, c'est pareil, on veut pas le voir. Des enfants, des parents, des grands-parents rêvent d'un voyage, d'une voiture (petite ou grande), d'autres souhaitent de la sincérité, un peu d'eau, du pain. Leur point commun : le miracle. On y croit tous mais il ne viendra pas de lui-même, je vous le dis.

D'autres ont le droit de rêver plus.

Jeudi 30 août 2007 à 19:37

Prenez une pincée d'ignorance, une autre d'indifférence, un poignée de malentendus, une autre de sourdité, une cuillérée de patience, un rien d'acharnement et vous ne trouverez rien d'intéressant, un vaste néant de nuleté.

Foutaises de se donner du mal à réussir quelque chose, que, au fond de soi, on sait impossible. Il manque de la foutaise aux gens inintéressants. Ils le deviendraient peut-être alors. Le deviendraient surment. On s'obstine souvent dans les cas inaccessibles. Le désespoir nous atteint alors, une fois qu'on a compris que c'était impossible. Chaque être est conçu de la même manière : la fleur fâne lorqu'elle a pris conscience que sans air elle ne respire plus ; l'homme prend conscience seulement quand il ouvre son esprit et regarde autour de lui.

Prenons, prenons les bonnes décisions.

Mercredi 1er août 2007 à 1:01

Elle portait une robe rouge, elle brillait d'éclats. Son coeur battait la chamade. Je voyais une lueur dans ces yeux qui voulait dire : "je suis aux anges". Elle sentait la rose qui se réveille avec la rosée. Ces joues se pourpraient d'exitation, elle me regardait et de cette simple façon témoignant de son remerciement, de son plaisir. Je comprenais ces pensées, je les partageais. Sa peau, si douce, ne demandait qu'une chose. Une question me traversa l'esprit. Dois-je la satisfaire ? La réponse venait d'elle-même. Ses lèvres acceuillantes, ne refusèrent pas. Et je me demandais si je devais continuer. Un soupir de joie traversa mon esprit. Le sourire sur les lèvres.

Rêve empoisonné ?

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